mardi 10 août 2010

Une terre, un peuple.

Le communautarisme européen, véhiculé par des réseaux de résistance est l'expression d'une prise de conscience identitaire : un certain nombre d'entre nous se rendent compte qu'ils appartiennent à un type d'humanité qui n'est pas le même que celui des gens d'autres continents et en tirent les conclusions qui s'imposent.

Nous appelons donc les Européens soucieux de rester ce qu'ils sont à se regrouper, à s'unir pour s'entraider et se donner ainsi les moyens d'exister.

Chacun doit pouvoir être à l'aise dans un milieu qui est le sien, dans le cadre d'appartenances liées aux origines des personnes. Ce qui peut se traduire par une formule toute simple : chacun chez soi, avec les siens, et tout ira bien.

Le communautarisme européen est, aujourd'hui, la dernière chance des Européens. Il leur faut, s'ils veulent survivre en tant que tels, affirmer leur spécificité, leur identité.
D'abord en apprenant, en découvrant qui ils sont. Quel est le patrimoine humain qu'ils portent en eux, qu'ils incarnent.

A partir de là, tout devient possible. Et, en particulier, l'affirmation d'une nécessaire solidarité qui donne à chacune et chacun d'entre nous le sentiment, la conviction, que son sort, son destin est lié à celui de ses soeurs et frères de sang.
N'ayons pas peur d'être nous-mêmes. C'est en cela et en cela seulement que nous serons dignes de vivre. Ou, s'il le faut, de mourir. Convenablement. C'est à dire debout. En combattant.

Tiré d'un texte de Pierre Vial.

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